Un professeur dans une petite ville de province reçoit une jeune élève qui veut passer son doctorat total. Il va lui apprendre successivement l’arithmétique et la philologie comparée. Mais selon les prédictions de la bonne, « La Leçon » ne peut être que funeste, car « l’arithmétique mène à la philologie et la philologie mène au pire »…

 Le comique d’Ionesco consiste à trouver de l’absurdité dans le banal. Extrême simplicité d’inspiration comme de ses effets, sens aigu de l’absurde, dextérité à renverser les termes des propositions, à prendre à rebours les axiomes sur lesquels s’endort notre paresse, ces clowneries verbales qui crèvent nos cerveaux moisis, jalonnant la piste, où nous tournons en rond dans un cynisme bon enfant.

En 1944, l’auteur Suédois Par Lagerkvist (prix Nobel de littérature en 1951 pour son roman Barrabas) explore le corps et l’âme de l’homme en créant un personnage hors du commun : Piccolino le Nain.

Le roman de Par Lagerkvist est le récit à la première personne, des tribulations de ce nain effrayant et de ses questionnements sur le sens de la vie. Les thèmes du roman sont ceux, chers à l’auteur, de la cruauté, de la difformité, de l’amour, de la rédemption et de la quête infinie du mystère de l’âme humaine.

La langue est mordante et jubilatoire. Le récit nous tient en haleine de bout en bout, la possibilité et le goût de se transformer pour servir ce grand auteur, le désir de faire entendre l’histoire de ce nain sanguinaire, drôle et maléfique.

On sent toute la jubilation qu’il peut y avoir pour un acteur à composer un personnage aussi puissant.

Le Nain est porté par le grand acteur Denis Lavant, habitué du cinéma de Leos Carax, qu’on a pu retrouver chez Claire Denis dans Beau Travail ou Jean-Pierre Jeunet dans Un long dimanche de fiançailles.

Entre flamboyances manouches et saveurs classiques, Antoine Boyer promène son talent sans frontières ni oeillères, s’affirmant de jour en jour comme un des guitaristes les plus inspirés de sa génération. Le jeune virtuose balaie les répertoires, revendiquant son éclectisme et développant une « patte » de compositeur déjà sacrément trempée. Maturité de l’expression, perfection de l’articulation, sens du timbre… Un bonheur !

Antoine Boyer a été distingué par le magazine Jazzman et choisi comme „Révélation 2012“ par Guitarist Acoustic.

Il est le premier guitariste de jazz tsigane à recevoir cette récompense très prisée. Antoine Boyer a été programmé par la plupart des festivals consacrés au jazz tsigane aux Etats-Unis et en Europe, et a partagé la scène avec des musiciens aussi renommés que Philip Catherine, Stochelo Rosenberg, Angelo Debarre, Christian Escoudé, Raphael Faÿs, Tim Kliphuis, Jon Larsen, Lollo Meier, Adrien Moignard, Robin Nolan, Paulus Schäfer, etc…

Il sera ce soir là, accompagné par la solide rythmique de Robin Dietrich à la guitare et Julien Cattiaux à la contrebasse.

Argan se croit malade et ne peut vivre sans être entouré de médecins. Pour avoir un gendre médecin il veut donner sa fille Angélique au fils de son médecin préféré, tandis que Béline qu’il a épousée en secondes noces se conduit en parfaite marâtre.

Toinette, servante généreuse et impertinente, saura faire le nécessaire pour déjouer l’intrigue des médecins, l’hypocrisie de la belle-mère et sauver ainsi les amours de sa jeune maîtresse.

Cette comédie, souvent considérée comme l’une des pièces les plus riches et les plus profondes de Molière, constitue sans aucun doute une somme de son théâtre, et cela en raison de sa thématique
(dénonciation de l’imposture, satire de la médecine et réflexion sur la mort), et de la présence d’un héros paradoxal (un malade en pleine santé) faisant le malheur des siens, obstiné dans sa folie hypocondriaque.

Surnommée autrefois « la rue de l’art » la Rue Mohamed Ali, une des plus anciennes rues du Caire a connu son âge d’or dans les années 40. En plein cœur de la ville, se côtoyaient dans les cafés musiciens, chanteurs, danseuses connues ou en quête de célébrité.

Si l’on recherchait un musicien, une danseuse, on venait prospecter dans les cafés de la rue Mohamed Ali. Aujourd’hui tout cela a disparu, seuls quelques vendeurs d’instruments de musique rappellent cette belle époque. Sheraa El Fann : un hommage à la danse et à la musique égyptienne, une succession de tableaux présentés par les élèves de l’Association Madrasat El Fann, qui vous emportera le temps d’1h30 de spectacle dans l’Égypte d’hier et d’aujourd’hui.

En manque de paillettes ? Cet évènement rêvé, pensé et manigancé par Miss Georgette est fait pour vous !

Public, nous aspirons à vous offrir une alternative culturelle unique, où la créativité et l’originalité sont célébrées chaque soir ! Oui, deux soirées uniques sur la région Nouvelle-Aquitaine vont mettre en avant des artistes amateur principalement locaux et aussi internationaux !

Avec son acolyte Médée the bwich, comédienne drag-queen bordelaise, Miss Georgette vous concocte une programmation audacieuse et novatrice. Chaque soir une 1ère partie compétition et une 2nd partie Gala afin de favoriser l’échange culturel et la diversité artistique au sein de la communauté burlesque.

Enfin, au-delà de son aspect paillettement divertissant, cet évènement est un moment de partage et de convivialité mais aussi de transmission d’un message de diversité des corps, de l’âge, d’ethnies et de genres.

« la Burly Boobs Party » est bien plus qu’un simple évènement : c’est une expérience culturelle immersive et enrichissante, qui invite chacun à explorer les frontières de l’imaginaire et à célébrer la magie de l’art de la féminité sous toutes ses formes !

Enfile ta plus belle tenue paillette qui dort dans ton dressing depuis décembre et rejoins nous car en Guest et jury pour vous : Tara Darson, Ariel Helicona, Camomille…et bien d’autre surprises !

“9 to 5” : En 1979, trois employées d’une grande entreprise se révoltent face à leur patron sexiste et menteur. Après avoir imaginé comment se débarrasser de lui, les circonstances vont leur permettre de se venger et de faire évoluer leur service. Situations cocasses et morceaux entrainants.

“Descendants” : Une création Disney. Ben, le fils de la Belle et la Bête qui sera bientôt Roi décide de donner leur chance à 4 enfants de méchants bloqués sur l’île de l’oubli afin d’étudier à Auradon. A savoir s’ils choisiront le Bien ou le Mal. Sur des rythmes pop et dynamiques.

“Wonderland” : Alice, inspirée du célèbre conte de Lewis Carroll, est ici maman solo et écrivaine. Elle part en rêve à la rencontre de personnages bien connus qui la feront réfléchir sur elle-même et le sens à donner à sa vie. Des musiques entrainantes et touchantes.

Ce sont des bouts de texte, de petits monologues, des pensées, de petits dialogues, des saynètes, des débuts de choses, des fragments d’histoires.

De petits événements, croqués à chaud, comme des instantanés, de petits polaroïds.

Ce n’est pas un montage, dans un ordre d’histoire, chaque texte peut être pris à part, sorti du contexte, chacun peut trouver son propre chemin.

Loups, louves, louveteaux, anonymes de toutes contrées, asseyez-vous, ouvrez bien vos yeux et tendez l’oreille, les histoires débutent ! Le loup dans tous ses états, pièce entièrement conçue par les élèves, est l’aboutissement d’un projet de classe unissant théâtre, littérature, musique, arts plastiques et mathématiques.

Les frères Grimm ne vous ont pas tout dit : depuis qu’elle a emménagé chez les nains, Blanche-Neige n’est plus la même et la cohabitation est rude. Insupportable Blanche-Neige est une comédie fantasque qui revisite le célèbre conte.

Les habits neufs de l’empereur est une adaptation pour le théâtre du conte d’Andersen. Il y a fort longtemps (ou non !), dans un pays lointain (ou non !), un souverain était plus préoccupé par sa tenue vestimentaire que par les affaires de son royaume… Et si l’habit ne faisait pas l’empereur ?